- « Vini vidé, Vichy » ou « J’ai vidé un tonneau de bon vin et je suis passé à la Vichy », et sinon ce qui s’ensuit :
- « Vin évidé cuvé » ou encore « Viné, vidé, vécu », ce que Musset traduisait « Qu’importe le flacon pourvu qu’on ait l’ivresse. »
Il ne faut pas hésiter à prendre au mot un sale type quand il vous importune car prendre Omo et la saleté s’en va.
Philémon de Nojours
« Le Dictionnaire de nos jours »
AEGEUS.ORG
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