"La mer ! Partout la mer ! Des flots, des flots encore.L’oiseau fatigue en vain son inégal essor. Ici les flots, là-bas les ondes. Toujours des flots sans fin par des flots repoussés. L’œil ne voit que des flots dans l’abîme entassés. Rouler sur des vagues profondes."
« Le feu du ciel » dans les Orientales.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire